C’est assez compliqué à définir, parce qu’en musique, « vouloir absolument faire comme tout le monde est une perte de temps ».
Néanmoins, ça plaît beaucoup aux fans de Tool, Pink Floyd, Swans, mais aussi de Björk, Patrick Watson, et des BO d’Ennio Morricone et de Joe Hisaishi.
Imagine maintenant tous ces gens qui regardent un très beau film ensemble, puis passent toute la nuit sous les étoiles à se raconter leurs histoires d’enfance, les plus tristes, les plus joyeuses, et aussi quelques histoires de fantômes. Là, tu auras une idée de l’univers de Qlay.
C’est une musique forte et vulnérable, indifférente à la prudence, aux modes et aux tendances. Un voyage dans ton imaginaire, dans ta mémoire. On pourrait même descendre jusqu’à ton cœur, ses vallées les plus lumineuses, comme ses galeries souterraines les plus obscures.
Avec sa musique, c’est bien dans ton cœur qu’il t’invite, en te montrant le sien.
« Qlay, c’est une voix, une guitare, un violoncelle… [Il] a une aisance certaine avec les cordes… Et fait bien vibrer la notre, la sensible. »